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Maicate

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“ Pourquoi ne pas mettre mon vrai visage. Pour qu'on ne me demande plus ma photo. Il suffit d'apprendre à mieux me connaitre, tu le sauras. ” - vendredi 10 juin 2022 15:19
10 kiffs

Création : 15/11/2019 à 19:47 Mise à jour : 06/07/2022 à 10:25

Blog de Maicate

Nous verrons bien à mon premier post, mais si tu passes par là ça me fera plaisir que tu viennes me lire. J'accepte volontiers les critiques constructives, merci.
J'espère pouvoir échanger avec des gens de tout âge quelque ils soient.

Dans la vie il faut savoir se mettre à nu pour pouvoir se lancer, ceci au sens littéraire...

Vous demandez madame B ? (romance fictive)
Une jeune fille impertinente se fait interpellé par un gars alors qu'elle s'apprêtait à rentrer chez elle. Une mais se pose sur son épaule et lui demande si elle connaît le nom d'une certaine madame B. Elle l'ignorait alors qu'il lui tendit le livre dans ses mains où il fut indiqué le nom demandé et elle reconnut l'un de ses livres préférés. Puis elle lui dit qu'elle savait qui serait la renseigner et elle allait l'y conduire. Ce devait sûrement être un amant fougueux de sa mère qui plus est. Il est à l'entrée de leur deux âges. Il veut savoir comment elle s'appelle et elle va s'arranger pour le renseigner. Ils traversèrent un grand couloir en pierre devant le dortoir de l'institution des enfants abandonnés de leur parent, et ce lieu est devenu leur foyer en plus de les instruire.
Chacun la regardèrent marcher rapidement, ceci pour qu'elle se détache de cette mission au plus vite. Elle ne savait pas ce qui la troublait. Elle feuillette à la va vite les pages du livre fébrilement de ce que cela provoque en elle, en se rappelant l'histoire dans sa tête de Véro l'héroïne du livre une amante émérite et aussi le nom de sa mère. Elle demanda à la réceptionniste madame B et lui dit qu'elle est sa fille. D'une impertinence peu commune, elle lui demande ce qui sera le mieux. Lui dire son prénom et son âge, quoique l'âge ne se demandait pas chez une femme mariée de bonne condition, ou lui apprendre son nom de jeune fille De Séville, pour pouvoir répondre à la question de cet homme. Celui qui la regardait intensément, et lui fit battre son c½ur se répercutant jusqu'à son pouls dans son poignet. Elle ne comprenait pas ce qu'il rechercha d'elle, ça pouvait n'être rien.
Et surtout pourquoi l'interrogea-t-il ?
Elle était plus jeune et gracile, elle en avait du moins dix-huit ans ou elle pourrait se rapprocher des vingt pour qu'il ne prenne pas peur.Elle le voulait et la concurrence sera rude. Sa mère tenait le dortoir des jeunes enfants comme des sortes d'orphelins. Elle avait eu une expérience avec son père, que son corps s'ouvrira plus que le sien. Elle fut une sorte de grande s½ur pour ces abandonnés d'amour à leur rappeler un certain nombre de valeur morale. Mais il lui fit oublier l'essentiel, et lui proposa qu'ils se promènent. Il était un brin ténébreux, une sorte de poète qui voulait sans doute rédiger des vers dans son cahier après lui avoir fait l'amour. Cette vision l'horripilait qu'un autre que son père imagina sa mère ainsi. Elle lui fit comprendre de laisser tomber, de toute façon, s'il voulait la rencontrer, sa mère serait bien trop occupée qu'elle ne se donnera même pas la peine de lui faire visiter le coin, et de faire un tour avec lui. Confus il se dit qu'il y avait méprise, vu le ton qu'elle employa avec lui, et qu'il connaissait sa mère depuis plusieurs années, étant restés en contact avec elle par lettre.
Quelques minutes plus tôt, miss Sou-Ann était pressée de rentrer chez elle pour ne plus avoir à penser à sa journée qui fut fatigante à l'école. Des gens de son âge l'avaient bassiné avec leur problème, sans prêter attention qu'elle pouvait aussi avoir les siens. Il semblerait qu'au tout à chacun pensait qu'elle fut capable de les résoudre d'un coup de baguette magique, car ses conseils s'étaient avérés utile. Mais elle en avait plus qu'assez de tout ceci. Et il serait temps qu'elle pense à ce qu'elle voudrait vraiment. Déjà l'une de ses amies se précipita pour lui faire savoir que quelqu'un lui plaisait, en lui demandant de l'aider pour un jeune homme qu'elle ignorait qu'il fut celui qui lui plaisait. Elle avait trop attendu et ne s'était pas déclarée. Il semblerait qu'il avait remarqué cette amie, et la regardait avec intérêt.
Pourquoi n'avait-elle pas pu être à la place de cette fille ?
Si seulement elle lui avait coupé la parole pour le lui dire. Elle était partie dans une interminable explication avec l'homme avec qui elle était sortie dans la cour pour pouvoir vider son sac, et que cela lui fera le plus grand bien pour finir sa journée avait-elle décidée. S'il tenait vraiment à avoir le nom de B, il lui faudra d'abord l'écouter, tout ce dont elle n'avait pas pu se plaindre, et il ira en faire les frais. Il griffonna quelques mots dans un cahier lui accordant toute son attention, de cette attention que sa mère aurait pu lui témoigner, si elle ne s'occupait pas tout le temps de ces pauvres malheureux qui n'avaient juste plus de parent. Son c½ur se serra rien qu'à cette idée, et elle savait qu'elle n'aurait pas du se plaindre, car ses parents furent encore là, et elle pouvait encore compter sur eux dans les mauvaises passes. Elle lui confia ce qu'elle n'avait jamais osé dire à qui que ce soit. Peut-être n'était-ce pas si évident de le faire, et qu'elle inspira tout simplement à ce qu'on lui fasse confiance pour tous ces gens malgré son visage impassible qui les intriguaient. Elle aurait voulu savoir si elle fut une jeune femme intéressante. Il lui répondit que si elle fut comme sa mère, elle l'était forcément, car chaque mot qu'elle prononça, il n'avait de cesse de s'ennuyer tant c'était subjuguant. Ce que les gens eut du mal à comprendre, fut qu'à force d'être sans cesse comparé à ce modèle de perfection qu'il fut facile d'en avoir à force des complexes. En tout cas d'avoir une mère si exceptionnelle, lui l'était tout autant et elle aimerait qu'ils apprennent à se connaître s'il le lui permet, ceci en leur permettant de se revoir à la même heure, au même endroit à la tombée de la nuit, alors qu'elle était sensée être rentrée. Cette ballade nocturne lui avait fait le plus grand bien. Il lui dit qu'il verra ce qu'il peut faire, et la quitte d'un simple baise-main, car elle n'est pas celle qu'il recherchait se dit-elle amer.
Pourquoi fallait-il qu'un homme si jeune que lui veuille sa mère et pas elle ?
Il fallait qu'elle comprenne la raison et pourra-t-elle y remédier ?
Elle ne savait pas encore son prénom, mais normalement les gentlemans tenaient leur parole. Quoique l'incertitude l'assaillait et qu'il lui parut trop approximatif, qu'il refera appel à ses services ne lui ayant pas dit de qui il s'agissait.

Note à part, Véro est l'héroïne du livre de madame B, et aussi le prénom de sa mère, puis elle a tendance à la confondre avec celle-ci. Et une vrai femme pensa-t-elle, celle qu'elle ne sera probablement jamais, étant trop propre sur elle-même.

...
La nuit suivante et la deuxième, elle l'attendit devant la pénombre de son porche et se remémora sa journée. Elle n'avait pas prêter attention à personne, pas même cette amie qui fut en couple, tout en repensant à cette homme sortit des ténèbres qui lui faisait tourner la tête. Sa mère occupée rentrait tard le soir, et son père s'était tant égosillé qu'il n'en prenait plus la peine à argumenter, qu'il resta assis dans le fauteuil en attendant leur retour après sa journée de travail. Leur vie de couple battait de l'aile, parce qu'elle ne lui consacra pas assez de son temps. Pourvu que son père ne l'apprenne jamais que sur son lieu de travail rodait son amant. Elle devait le convaincre comme elle le pouvait de sa parole pleine de bon sens, de ses atouts féminins de ne pas aller la revoir, car les choses pourraient s'arranger entre ses parents elle en était certaine. Ce n'était pas encore désespéré entre eux, et après un temps d'abstinence ils se réconciliaient sous la couette. Elle compta bien le lui surligner. Et à se perdre dans ses pensées, elle n'avait pas vu qu'il fut déjà là à ses côtés patientant son carnet à la main, qu'elle revienne au commun des mortels. Elle avait à sa façon un côté fascinant, car il aurait voulu comprendre ses mimiques, et pourquoi elle s'agitait ainsi dans le vide. Tant bien même, ce fut elle qui lui demanda de revenir, elle ne trouva rien d'autre que de le faire languir sur place, pour leur promenade nocturne au clair de lune. Il lui proposa qu'elle se tienne à son bras pour mieux reprendre son équilibre en cas d'obstacle qu'elle ne verrait pas, car elle portait des petits talons. Tout ce qu'elle voulut lui parler ne lui revint pas en tête, et elle n'arriva pas à le sortir de sa bouche, et se contenta de lui demander ce qu'il faisait. C'était un artiste à part entière, il écrivait des poèmes, ou parfois en peignait des tableaux en portrait, et d'autres il chantait ses vers sur un instrument à corde. La nuit comme le jour, quand ça lui venait l'envie. Puis il avait rencontré sa mère qui lui bouleversa sa vie comme jamais il n'aurait cru cela possible. Il ne pouvait pas encore le lui en parler, car avant il devait la revoir pour pouvoir en discuter avec elle. A cette idée, Sou-Ann ne pensa qu'à une chose, il lui fallait trouver cette date qu'il la reverrait coûte que coûte ignorant l'utilité qu'il la voit. Tout en révélant son prénom, elle lui demanda de révéler le sien, et ils commencèrent à se tutoyer. Il lui révéla s'appeler J-BM puis opte pour Baptiste en ne pouvant plus détacher son regard de la lune. Et plutôt que de connaître son nom, il lui dit qu'il ferait mieux de connaître son prénom actuel. Il avait pensé à tout sans qu'elle s'en rappelle trop occupé à le regarder. Cela sembla se répéter en boucle tel un cercle vicieux.
Quelques chose l'avait déstabilisé malgré qu'il ne fut rien en particulier, et qu'il la regarda de cette façon troublante, dans ses yeux d'une profondeur.
_ Ma mère s'appelle Véro, lui répondit-elle, alors qu'elle tenta de se reprendre.
Il lui dit que c'était bien. Était-ce une confirmation ou qu'elle fut assez docile pour le lui dire... Quel qu'en fut le sens de sa phrase cela lui échappait. Ce qui l'intrigua encore plus, de vouloir creuser sous cette carapace pour y voir plus clair. Cela lui vint tout naturellement de le questionner s'il avait une copine ou qu'il fut engagé dans une relation sans préciser ce que c'était. Il aurait pu l'être assurément et même avoir des aventures. Elle le lui disait pour qu'il ne s'en inquiète outre mesure. Elle lui dit qu'elle avait vingt ans, elle en avait bien entendu d'autre et qu'il pouvait se lâcher. Il tenta de vérifier en lui parlant de l'une de ses aventures avec une femme plus âgée que lui.
_ « Non mais quelle horreur ! », pensa-t-elle en son fort intérieur.
Il pourrait s'agir de sa mère, et elle ne souhaitait pas connaître ses ébats avec son amant. Mais elle ne pouvait plus reculer sur sa curiosité qui l'avait emporté, et elle ne l'écouta que d'une oreille distraite.
...
# Maicate
Tags : Maicate, Romance, Homme et Femme, Madame B, Tous droits réservés. Maicate ©, Page 1, Fiction
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#Posté le jeudi 07 mai 2020 22:58

Modifié le vendredi 12 juin 2020 21:49

Je ne vous ai pas dit que je suis novice en rédaction d'article, la suite

...
Donc elle fut la femme qui avait su faire de lui un homme, il y a de cela une huitaine d'années se confia-t-il. Voyant bien que ses oreilles furent trop chaste pour un récit adulte dont personne ne s'était aventurée à le lui en faire part, ceux-là n'en trouvant pas la nécessité avant son mariage. Il fut celui qui s'en chargea. Il lui dit avoir eu son âge, qui voulait dire vingt ans se le répéta-t-elle mentalement afin de se le rappeler, et elle le lui sortit pour se l'encrer en tête. Elle fut en quelques sortes son enseignante de l'amour, et ça n'allait pas très bien avec son mari, puis elle avait fini par lui avouer qu'elle fut déjà une mère sans dire le sexe de l'enfant. Ce fut la seule aventure avec une femme mariée, qu'il avait séduit sans même vérifier qu'elle avait une attache. Ils ont eu bien des choses à faire ensemble pendant toutes ces années, et qu'à un moment donné en la voyant de dos il fut persuadé que ce fut elle. Actuellement, il n'aurait pu à peine faire la différence à la lumière de la nuit. La même coiffure, cette tenue toujours impeccable, et quand il passa sa main sur son bras et qu'elle en eut des frissons, il se reprit qu'il lui serait impossible de la confondre avec elle. Il en était sûre parce que sa fille avait tant de candeur en elle, et vraisemblablement voué d'une telle inexpérience Il n'aurait pu se tromper qu'elle restait encore une enfant malgré son âge, mais qu'elle avait tout de même l'âge de fréquenter un adulte. Cependant l'âge ne faisait pas tout, et les sentiments avaient de leur importance. Et il l'avait aimé et l'aimait probablement encore. Donc à chacune de leur escapade, ils se retrouvaient dans la tour de guet, pour s'adonner à leur passion dévorante l'un pour l'autre. Sa mère avait une telle prise sur lui qu'il ne pouvait s'en défaire. Et son corps de femme fut juste ce qu'il fallait pour attiser son désir de la faire sienne. Ses paroles se révélèrent telle une caresse, et en même temps pleine de brusqueries, qu'elle ne saura pas lui apporter ce dont il avait besoin, et il ne pouvait pas se permettre de compter plus longtemps fleurette de la sorte. Elle devra se contenter de rencontrer un homme de son âge, c'était le mieux qu'elle puisse faire. Il lui expliqua qu'une jeune femme n'avait rien à faire avec un homme comme lui, et que si on les surprenait à une heure aussi tardive les gens s'y méprendraient. Donc elle répondit très bien, qu'ils n'avaient qu'à se cacher des autres à la tour de guet, pour pouvoir parler sans soucis. Et personne n'était sensé savoir qu'ils y étaient. Et sans crise, elle n'était guère utilisée pendant plusieurs années. Ils y seront tranquille sans que l'on puisse les y déranger, et avant même qu'il ne lui donne sa réponse, elle l'interrompit en posant ses lèvres sur sa joue, chose qui ne furent pas coutumière à part leur proche ou à leur compagnon dans leur époque. Elle s'éloigna pour rejoindre sa demeure qui fut encore éclairée, il n'était pas encore dix heures à l'horloge du clocher, et ne elle se retourna pas car elle devait être toute rouge. Lui toucha sa joue de sa main dans un sourire, et il trouva qu'il l'avait sous estimé.

Lors de la troisième nuit, cela lui facilita la tâche d'avoir le prénom de sa mère car elle avait pu le changer en recommençant sa vie de femme. Et il avait pu demander à la réceptionniste de lui donner l'information qu'il eut d'un claquement de doigt, puis qu'elle lui mangea dans la main comme hypnotisée. Sou-Ann lui avait dit qu'elle le lui révélerait elle-même comment elle s'appelait, et cela lui suffit pour obtenir son nom d'épouse de l'information qu'il rechercha. Il fut reçu par Véro dans son bureau de directrice qui l'accueillit chaleureusement dans une accolade familière. Sa fille ignorait encore qui il était pour sa mère, et ce qu'ils avaient été pendant toutes ces années pour elle. Il pensa avoir pris suffisamment de marge, en fin d'après-midi pour revenir à leur rendez-vous plus tard, pour lui parler à la même heure, car il trouva ces moments plaisants. Mais le temps passa si vite à parler de leur passé commun, qu'il fut déjà en retard de dix minutes, et ils n'étaient pas prêt d'avoir fini leur dialogue. Il n'avait pas averti son amie qu'il fut attendu ailleurs d'où le contretemps. Sou-Ann aurait pu le comprendre si seulement sa mère lui en avait parlé. Le sachant très ponctuel, elle s'interrogea au bout de dix minutes de retard, en voyant bien qu'il n'était pas là. Puis elle se rappela la veille qu'elle lui dévoila le prénom de sa mère. Il devait être là-bas à fricoter avec elle pour mieux pouvoir la récupérer. Et dire qu'elle avait cru qu'il repasserait ici, elle s'était bercée d'illusion telle une idiote. Elle se sentait vraiment minable de penser qu'un simple bisou sur la joue suffirait, en comparaison des plaisirs de la chair il n'y avait pas photo. Elle aurait du carrément tenter un vrai baiser, cela aurait été bien mieux, mais elle se montra si sage dans le bon comportement d'une fille de sa condition. Puis la secrétaire de sa mère confirma qu'elle fut en rendez-vous avec un bel homme. Elle l'avait informé qu'elle  attendait qu'il vienne, et qu'il fut rentré dans son bureau pour lui parler. Il s'appelait Baptiste Maréchais. Il était en  entretien avec sa mère, et il ne fallait les déranger sous aucun prétexte, sans doute un motif bidon. Si elle savait ce qu'elle pensait de sa consigne dont elle roulerait volontiers en boulette pour la jeter à la corbeille. Elle outre-passait ses ordres en se rapprochant de la porte pour attendre leur sortie. Et elle les voyant très proche derrière la vitre en double vitrage, que son c½ur se serra fort de jalousie. C'était pour ça qu'il voulut connaître son prénom, elle s'était faite avoir, puis elle en oublia sa propre parole avec la réceptionniste qui ne fit que l'écouter, et il s'en servit contre elle, alors qu'elle avait voulu seulement faire connaissance avec lui. Alors que la femme l'observa en pleine transgression de règlement de l'institution, Sou-Ann la fusilla du regard qu'elle lui ait facilement révélé cette information, alors qu'habituellement elle filtre tout le monde, même elle si à ses débuts il fallut que sa mère intervienne pour qu'elle puisse la voir. Elle l'avait même menacer de renvoi si cela se reproduisait, et depuis elle prit peur de leur réaction, sauf ceux qui furent des parfaits inconnus. Si seulement elle en avait eu le pouvoir, elle l'aurait renvoyé de se montrer trop faible face aux beaux hommes. Elle venait de les précipiter dans les bras de l'un et de l'autre. Elle sembla si bien s'entendre avec lui, que ça en était douloureux à voir. Il ne pouvait pas lui faire ça, elle l'en empêchera et patientera derrière la porte jusqu'à qu'ils daignent se montrer. Puis ses yeux humides de larmes avaient trempé son visage de rosée, envahi d'une étrange émotion. Baptiste la regarda perplexe en essayant de comprendre pourquoi elle fut si bouleversée. Mais que faisait-elle là alors qu'il n'était pas encore l'heure, et il vérifia sa montre à gousset à remonter qui s'était arrêtée avant l'heure de leur rendez-vous. L'horloge qui était pourtant dans son dos, il l'avait ignoré. Il était presque neuf heure du soir, pas étonnant qu'elle soit venue devant le bureau de sa mère à se poser des questions. Alors qu'il fit un pas vers elle, elle recula de deux pas, jusqu'à qu'il tente d'ouvrir la bouche, mais elle l'en empêcha parce qu'elle ne voulait pas entendre ses explications. Elle cligna des yeux, puis sa vision se troubla et elle fronça ses paupières en les fermant. Cela ne se pouvait pas qu'ils reprennent leur relation adultère, il lui avait avoué que ça leur faisait huit ans de cela, ou alors ça avait duré depuis ce temps, et c'est pour cela qu'elle ne se serait pas sentie si accablée, qu'il lui avait appris certains détails. Quand il voulut l'interpeller et que sa mère pensa qu'elle voulait la voir, tout en ignorant qu'ils s'étaient déjà parlé l'un et l'autre. Au moins la réceptionniste n'avait pas la langue si pendu que cela. Elle la fixa attendant que les mots sortent de sa bouche, et stupéfaite qu'elle soit dans un tel état.
Mais ils restèrent coincé dans celle-ci, pour lui asséner des paroles bien injuste.
_ Comment peux-tu nous faire tout cela ! Et papa que va-t-il en penser s'il l'apprenait ? Tu es vraiment la pire ! Elle n'attendit même pas sa réaction, sans doute qu'elle en fut affligée, puis elle s'enfuyait de cet endroit pour rentrer et s'enfermer dans sa chambre, et n'en sortit que lorsqu'elle sera remontée dans sa chambre avec son père qui resta éveillé le temps de leur retour. Et elle grignotera quelque chose de bien gras et du même genre que le beurre de cacahuète. Cet homme sur le moment, elle ne souhaita plus le revoir roder devant leur maison, à leur point de rendez-vous nocturne, à effectuer des ballades lorsque le ciel fut suffisamment éclairé et propice à la romance. Ainsi que pour n'importe quoi d'autre, puis elle en venait à le chasser avec un mot laissé sur la porte et en l'apercevant elle lui dit de ne plus passer dans le coin. Il revint encore trois jours avant de s'avouer vaincu, et sûrement blessé qu'elle ne voulut pas écouter ce qu'il chercha à lui expliquer. Il fut surpris, déçu, et inquiet de son attitude qui n'avait jamais été hostile avec lui, tel que ses deux nuits, dont ils venaient tout juste de se rapprocher. Enfin ceci était vrai, tant qu'il resta loin de sa mère, et elle pensa que cela la concernait malgré son exaspération, à pouvoir partager un peu de son temps avec lui à la tombé de la nuit.
Cela faisait maintenant une semaine jour pour jour.
Elle ne lui demandait rien de plus, mais fallait-il qu'elle accepte de lui reparler pour le lui faire savoir? Et si leur rendez-vous différait, et qu'ils retournaient à la tour de guet comme dans le temps ?
Son père était déjà à la maison et il y restera quoi qu'il en coûte. Sa mère ne pourra pas emmener son amant chez eux, dans un lieu commun, puis elle ne l'avait pas revu depuis le huitième jour, faisant tout pour l'éviter. En mangeant tôt, rentrant sans faire de détour, se levant tôt que des cernes avaient marqué son visage bouffi d'avoir trop pleuré. Elle devait en avoir le c½ur net, et aller pour les empêcher de commettre un impair, et peut-être même devait-elle se sacrifier, et remplacer sa mère en portant une cape à capuche pour passer inaperçu dans la nuit.
_ "Non surtout pas de se faire passer pour elle malgré leur ressemblance..."
Surtout que ça la mettrait dans une situation très délicate, et la vérité n'en sera que plus effroyable, cela n'allait pas dans son intérêt. Alors qu'elle manquait d'expérience, et qu'il ne la prendra carrément pas au sérieux. Elle pourrait au pire se renseigner avec ses filles des cuisines en ville voir les femmes de chambres qui en connaissaient tout un rayon. Elles avaient été pour la plupart les maîtresses d'hommes fortunés vieux et moches qui s'assuraient de les mettre à l'abri du besoin, leur récoltant des bâtards de fils pour leur ligné. Quand leur femme ne furent pas capable de leur en donner un. Elle le lui diront ce qu'elle voulait pour quelques pièces d'or, ou parce qu'elle pourrait leur offrir ces fameuses pièces de soies qu'elle colleraient à leur visage et à leur cou, après avoir nettoyer leur peau à l'eau clair, pour en ressentir l'extrême douceur. Pour avoir des m½urs légers qui savent exciter l'homme tout en portant sa grande cape à capuche qui lui couvre bien les yeux, la moitié du visage car ce qui la différait de sa mère furent ses yeux noisettes à la place des yeux très clair de sa mère qui étaient très prenant. Plus d'un homme s'y serait noyés dedans. Sou-Ann fut le résultat de ce naufrage car tel était son existence. Elles lui avaient dit que les hommes aimaient les femmes qui se voilaient de mystère, va savoir le sens que ça avait...
Comme elle s'aperçut qu'il ne reviendra pas, elle y alla vers les neuf heures du soir hésitante à rentrer là où ils s'étaient donnés l'un à l'autre sa mère et lui.  Puis rien ne servait de tergiverser, autant qu'elle en ait le c½ur net. soit il était là-bas à l'attendre, voir celle-ci se libéra déjà de sa charge de travail pour le retrouver et vice-versa. Ou il fut le seul dans l'attente qu'elle le rejoigne. Sou-Ann devait lui parler et expliquer que ce qu'ils faisaient était mal. Il y avait la cape à capuche de sa mère qui resta suspendu à un crochet en hauteur. Elle la défit et l'emporta avec elle pour gagner du temps quand elle voudra le rejoindre. Elle avait la sienne dont elle se couvrit le profil qui fut exposé sur l'extérieur des petites ouvertures d'air dans les blocs de pierres empilés. Puis en empruntant les escaliers en colimaçon, une porte bloquait l'accès, mais elle n'était pas fermée et il suffisait juste de la pousser. Il était assis devant une petite table à écrire ses poèmes éclairé par une lanterne. Laissé contre le mur, un chevalet trônait dans la verticale, et dont la toile fut encore intacte. Puis il avait un banjo qui fut effectivement un instrument à corde, juste près de la table de nuit, avec le bruit d'une plume qui griffonnait sur du parchemin. Il sentit que quelqu'un était là et il appela le nom de sa mère, puis n'ayant pas de réponse il se tourna vers son inconnue, vraisemblablement étonné de la voir de si-tôt.
...
_ Que me vaut l'honneur de ta visite Sou-Ann dans mon refuge secret ?
Elle aurait préféré être celle qui déclenche le dialogue, surtout pour l'amorcer dans le vif du sujet. Cependant, il n'attendait qu'une chose, c'était de savoir au plus vite sa raison pour abréger leur entrevu.
_ Je souhaite m'entretenir avec toi d'une affaire primordiale concernant mes parents, et hélas je suis au regret de t'annoncer qu'il ne pourra être toléré que tu continues à voir ma mère.
Elle ne pouvait en dire plus pour l'instant, car il estima qu'il avait son mot à dire dans cette affaire, et il n'avait pas l'intention de se laisser intimider.
_ Serait-ce votre mère qui vous fait quérir jusqu'à moi pour me donner un tel message ? C'était ce qu'elle redoutait le plus pour lui cela devait venir expressément d'une demande de sa mère, sans quoi il n'y mettra pas fin.
_ Effectivement ce n'est pas une requête de ma mère... Mais sachez Baptiste qu'elle reste mariée à mon père, et cela ira à l'encontre de leur contrat de mariage qui prône la fidélité. Vous n'êtes pas sans savoir que son nom sera sali dans la boue !
Cela la mettait hors d'elle qu'il ne tenta pas de comprendre la situation. Elle n'était ni veuve ni une mère-fille n'ayant pas trouvé de mari pour élever sa fille seule, et pour se permettre une telle aventure, même si elle fut capable d'éprouver des sentiments pour un homme plus jeune qu'elle.
_ Je ne fais que suivre ce que votre mère peu tolérer, et nous savons nous montrer discret, pour que cela ne s'apprenne pas. Et sachez pour votre gouverne mademoiselle, qu'à dix heures nous devons nous retrouver en ce lieu, et je vous serai gré de quitter mes quartiers sans tarder.
Il ne manquait pas d'air de lui parler ainsi. Elle ne l'avait même pas agressé. Il ne trouva rien de mieux à lui dire, même pas à tenter de rassurer une fille inquiète de la relation de ses parents.
Mais que pouvait-elle bien lui trouver ?
_ Vous n'êtes pas sans savoir que même les adultes sont capable de bêtises pire que celle d'une enfant. Et je vous le dis de vous à moi. Vous êtes entrain de commettre la pire erreur qui soit, surtout si vous prétendez l'aimer ! Vous devriez vraiment réfléchir à vos actes, car cela l'affectera au plus haut point, lorsque les gens la montreront du doigt.
Elle fut hors d'elle et ses doigts tremblaient, enfin son corps dans son entier puis elle se tendit rouge de colère. S'il ne trouvait pas un moyen pour que cela change, elle se sentait capable de venir lui donner la migraine afin qu'il retrouve la raison.
_ Vous êtes si inquiète que cela pour votre mère ? J'en suis désolé pour vous mais j'ai besoin de distraction le temps que je reste dans le village, et il me reste quelques mois d'attente. Il se pourrait cependant que je change d'avis si vous faites quelques choses pour moi en échange. Cela ne sera pas sans conséquence ma chère enfant.
Son ton devint plus chaud tout en le disant à mesure qu'il se rapprocha d'elle, elle ferma les yeux se doutant qu'elle risquerait de se prendre une claque en le lui demandant.
_ Quelle est votre proposition pour que vous acceptiez d'éconduire ma mère qui reste engagée à mon père ? C'est l'unique raison qui me fait vous poser la question.
Il n'était pas certain qu'il y croit alors que ses doigts caressa l'angle de sa mâchoire, et de la voir réprimer un frisson qu'elle eut tant de mal à contenir.
 
Tags : Maicate, Romance, Homme et Femme, Madame B, Tous droits réservés. Maicate ©, Page 2, Fiction
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#Posté le vendredi 08 mai 2020 09:54

Modifié le vendredi 12 juin 2020 22:04

Mais que venait-elle de faire dans ses bras ?

Sous un accord tacite et consensuel, elle accepta sa proposition trouvant que cela fut sa seule option envisageable, et elle est décontenancée d'apprécier ce qu'il lui fait en pouvant par la même occasion obtenir son attention.
 
Comment lui expliquer qu'elle avait mentit sur son âge, et qu'il fut normal qu'ils s'inquiètent pour elle ? Mais aurait-elle réussi à obtenir cet arrangement s'il avait connu son âge ? Probablement que non. Puis elle s'allongea contre lui quand il fut allongé sur son dos, en gardant sa main dans le creux de sa taille.
C'est le chant des oiseaux dans les arbres qui la réveillèrent. Puis elle se dégagea de lui en essayant de ne pas le réveiller.
Il la laissa filer en sachant qu'il lui fallait se dépêcher, et passer un sentier escarpé pour n'être vu de personne. Puis elle regagna chez elle par la porte arrière donnant sur la cuisine s'ouvrant grâce à une clé.
Elle alla aussitôt dans sa chambre se laissant tomber dans son lit sa cape en main, et y sentant un parfum masculin sur son vêtement.
Le matin fut des plus calme puis sa mère frappa à sa porte en espérant qu'elle y soit.
Sa mère l'avait attendu toute la nuit morte d'inquiétude, c'était le week-end.
En rentrant elle n'était plus fâchée autant après sa mère vu ce qu'elle avait fait, et surtout si elle apprenait ce qui s'était passé la nuit.
Elle savait qu'elle méritait de se faire disputer de ne pas avoir averti son père qu'elle sortait. En plus elle avait découché et laissa un homme plus mure la toucher.
_ Sou-Ann te voila enfin rentrée. Je me faisais un sang d'encre pour toi ! Mais où étais-tu cette nuit ? Et c'est horrible, ton père et moi avons eu notre pire dispute... Il m'a accuser d'être une mère indigne, parce que je ne prenais pas le temps de m'occuper de toi. Que c'était la raison pour laquelle tu ne nous as pas dit où tu allais. Il est partit ma chérie et je ne suis pas sûre qu'il revienne. Il a emmener sa valise avec lui. Qu'allons nous devenir s'il demande la séparation ? Je ne sais plus où j'en suis.
Elle n'avait jamais vu sa mère aussi désemparée, les yeux gonflés de larmes, le regard perdu, les cheveux légèrement en bataille de s'être allongée dans le canapé, et ses mains tremblaient même en les lui tenant. Ça faisait mal de la voir dans un tel état.
Ce qu'elle savait c'est que la relation de ses parents avait coulé par sa faute. Son père furieux puis s'en était allé au petit matin lui précisa t-elle, de ne pas pouvoir compter sur elle pour que reste en place leur seule fille.
Cela n'avait pas aidé qu'elle lui octroie des responsabilités aussi jeune auprès des enfants.
_ Maman je suis désolée, je n'aurai pas du découché sans vous avertir. J'étais fatiguée et je me suis endormie à cause des jours où je me suis peu reposée. Papa ne peut pas partir comme ça sans s'expliquer. Laissons-lui un peu de temps, il finira bien par revenir, j'en suis sure.
Elle ne voulait pas la voir aussi abattue. Ce n'était pas ce qu'elle voulait, puis elle savait qu'elle méritait amplement qu'on lui empêche de sortir, donc il devra attendre que sa punition soit levée. Et tant que sa mère rentrait plus tôt, elle n'aura pas à se soucier qu'il l'attire dans ses filet.
Elle était loin d'avoir fini avec son accord, même si que dans un sens ce ne fut pas une torture.
Elle avait voulu attirer son attention sur elle, sans doute aurait-elle préférée que cela se passe autrement, et plus en douceur à se faire courtiser.
Elle se sentit coupable de lui retirer son soutien, pendant que sa mère s'inquiétait de l'avenir de son couple.
Elle lui en touchera quelques mots en lui autorisant à passer la voir en journée, alors qu'elle le reverra au soir quand sa mère ira mieux.
Elle sembla vraiment accablée par sa situation. Il lui fallait au moins une oreille attentive qui ne pouvait pas être la sienne, en refusant de communiquer sa faiblesse à sa fille.
Ce soir il s'inquiétera de ne pas la voir venir à l'heure, et Sou-Ann sortira pour attendre qu'il passe et comprenne qu'au moins pendant une semaine elle restera à veiller sur sa mère, le lui proclamera-t-elle.
Elle lui demanda comme un service afin qu'elle reprenne du poil de la bête d'agir comme son soutien, et de lui permettre de faire un travail sur elle-même, et qu'elle réalise comment arranger les choses avec son père.
(Il se pourrait bien qu'elle entende ce qu'il lui dit, parce qu'il fut une personne extérieure de sa famille, et le laisser s'approcher d'elle montrera qu'elle lui faisait confiance.)
Même si à la base il ne se servait que d'elle, il saura lui faire retrouver la raison, puis Sou-Ann savait qu'il ne le ferait pas gratuitement, et réfléchit aux mots qu'elle emploiera avec lui.
_ Baptiste allons à l'arrière afin de ne pas être vu. Je vais te montrer où se situe la fenêtre de ma chambre, et je passerai dorénavant par là pour venir te parler. L'heure est grave et nous sommes en situation de crise ! Ton tribu sera le mien...
Ce qui voulait dire qu'il choisisse ce qu'il voulait qu'elle lui fasse pour respecter leur accord.
Elle ne savait absolument pas ce qu'il lui demanderait et elle préféra ne pas y penser.
Ils n'étaient pas vers sa fenêtre mais cachés par la barricade arrière de la maison, et il laissa un mot expliquant qu'elle reviendra bientôt.
Il sourit en coin en sachant déjà ce qu'il lui fera faire. Elle regarda ses pieds parce que son attitude la gênait.
_ Je sais déjà ce que tu pourras faire dans l'immédiat, et nous somme à la bonne température avec tes mains qui semblent s'être légèrement rafraîchit. Elle craignait le pire, en sachant que ses mains y serait impliquées mais où ?
Il ne tarda pas à lui désigner l'endroit en retirant son foulard qui bloquait l'ouverture de sa chemise, et qui révélait en partie sa peau.
Il prit sa main en la faisant passer sous sa chemise pour la presser sur son sein.
Elle ressentit son téton se durcir sous l'effet frais, et il ne voulait rien de plus enfin presque.
Il lui fit un signe de tête de faire pareil avec son autre main, et ce ne fut pas sans mal car sa main trembla, et dès qu'elle l'eut atteint il poussa un long soupir de contentement, comme son geste lui était plaisant, puis il lança un regard l'avertissant qu'il allait s'emparer de ses lèvres pour la faire oublier en lui.
Il dura quelques minutes puis il s'éloigna d'elle, en voyant que ses yeux furent embués par ce simple contact.
Il restait à savoir s'il ferait ce qu'elle lui avait demandé plus tôt en précisant qu'il ne devait pas la rendre accro, et il devra ne rien faire d'autre.
_ Est-ce que tu seras-là pour elle en journée ? Sa réponse fut un baiser passionné, puis il lui répondit tout contre sa bouche.
_ Je ferai ce que tu voudras princesse ! Puis ça ne sera pas une chose bien compliquée à réaliser.
Elle ne précisa pas que la flatterie était contre-indiquée, puis elle ne pouvait pas tout lui interdire pour remplir son objectif bien qu'elle sera jalouse.
Sûrement parce qu'il ne fut pas déjà son homme. Mais avait-elle au moins un avenir avec lui vu la façon qu'avait commencé leur histoire ? Sans doute pas.
Elle commença charnelle et cela la fera dépérir.
Au lendemain, Baptiste s'incrusta au travail de Véro lui expliquant qu'il souhaitait lui être utile en proposant une heure de peinture aux enfants en atelier. Puis il reviendra vers elle pour qu'ils discutent au bureau. Il lui rappela qu'elle avait besoin de prendre une pause de temps en temps et de décompresser avec les enfants qui attendait sa visite.
Il la joua finement sachant que cela mettrait un terme à leur contrat qu'il eut avec Sou-Ann, et que tout reposait sur ses épaules de devoir redonner figure humaine, à son amie pour reprendre au plus vite leur rendez-vous secret.
Donc son action ne fut pas complètement désintéressée.
Véro ne devait en aucun cas se rendre compte de ce qui se tramait entre lui et sa chère fille. Elle était restée avec les enfants qui l'avaient accueilli leurs bras grands ouverts, et parfois pour les plus jeune elle avait l'impression qu'ils furent ses petits enfants.
Malgré que pour cela il lui aurait fallu avoir sa fille à seize ans, et qu'elle soit aussi mère au même âge pour que cela soit possible.
Mais l'idée qu'elle puisse en avoir à dix-huit ans ne la gênait pas plus que cela.
Tout ce qu'elle espérait fut que son amoureux ne prenne pas la clé des champs pour fuir ses responsabilités.
Elle ne put l'expliquer que de cette façon que sa fille ne soit pas rentrée de la nuit la dernière fois. Et qu'il lui faudra en discuter avec elle de prendre ses précautions.
Elle était sûre et certaines que son époux la contredirait de telle pratiques, car cela fut la majeure cause des mères-enfants qui se retrouvaient seule à élever leur enfant, puis les autres hommes de bonnes conditions ne voulaient plus en entendre parler.
Mais le prendra-t-elle aussi bien que ce soit son Baptiste ?
Elle émettra une objection, puis cela se terminera de toute façon quand il repartira.
La directrice reprenait parfois ses fonctions et elle songea enfin à se prendre une assistante avec qui elle se relayera la tâche dans l'urgence.
La présence de son ami d'enfance lui redonna du poil de la bête qu'à la fin de la semaine elle fut en net progrès à ne plus pleurer toute la journée chez eux ainsi qu'à l'extérieur.
Puis son dynamisme était habituellement communicatif.
Ce fut au samedi soir que les deux amants s'autorisaient à se voir, et qu'elle demanda à sa mère si elle pouvait s'absenter, ne tenant pas à ce qu'il vienne leur rendre une visite nocturne devant chez elles.
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#Posté le dimanche 10 mai 2020 14:49

Modifié le dimanche 10 mai 2020 15:21

Les choses se compliquent

Les deux amants se sont retrouvés dans la tour pour revenir à leur rendez-vous secret et ils s'arrangent pour ne pas être découvert. Il s'agit de la suite du précédent.
...
Puis il la fit basculer sur le lit en lui proposant de se reposer un peu avant qu'elle ne rentre chez elle.
Posant ses lèvres sur son front pour mieux la calmer.
Elle l'était avec lui puis elle remonta l'une de ses jambes sur lui s'allongeant sur le coté pour se blottir contre lui.
Son bras qui l'entourait reposait sa main sur sa taille.
Un tel quiproquo se transforma en rencontre charnelle, et ce parfois quand il venait la rendre visite le soir devant la fenêtre de sa chambre.
Elle ouvrait celle-ci puis alors qu'il lui dit vouloir lui parler elle, il lui demanda de tendre ses mains, pour l'aider à sortir par celle-ci sans encombre, puis ils s'asseyaient juste en dessous pour veiller à ce qu'aucun malfrat n'entre par là.
Pour ne pas l'avoir à même le sol, il lui proposa qu'elle aille sur ses jambes.
Elle lui dit qu'elle ne voulait surtout pas, que cela sera déjà suspect qu'on les découvrent tous les deux assis aussi près l'un de l'autre.
Il lui dit qu'elle ne savait pas ce qu'elle voulait, puis il lui ajouta qu'il y avait bien plus embarrassant que cela, et qu'il sait se retenir en lieu public.
Ce qui voulait tout dire à la fois, malgré qu'il chercha à lui faire croire qu'il se retiendra. Mais ils étaient sur le terrain de ses parents donc normalement elle pouvait se permettre de décompresser.
Elle se retient de ne pas rire nerveusement, car derrière la clôture ils avaient quand même la possibilité de se faire prendre et pourtant, il ne s'était pas gêné à lui mettre les mains sous sa chemise.
Alors elle se doutait que ce n'était que sa parole du vent, et qu'il avait aussi des idées bien arriérées en tête malgré qu'il chercha à lui faire croire le contraire.
Elle reconnut qu'il marqua tout de même un point, pourquoi stresser alors que les gens ne prendraient pas la peine de venir jusqu'ici sauf dans le but de les visiter.
Mais à la place, elle préféra allonger sa tête sur ses jambes.
Puis maintenant quand elle venait voir sa mère, et qu'elle les vit ensemble elles les salua joyeusement ce qui avait rassuré sa mère concernant leur entente les fois, où elle resta avec les enfants, et qu'il dut s'en occuper à son tour.
Elle proposa même de les aider à cette tâche, malgré que cela fut toujours une chose qui lui fut attribuée depuis son adolescence.
Les enfants furent bien content de la voir puis qu'elle allait mieux.
De même que ses camarades d'écoles qui furent inquiet pour elle, se réjouissaient qu'elle retrouva le sourire. 
Ce n'était pas qu'elle leur faisait fuir, mais son aura avait montré qu'ils feraient mieux de passer leur chemin.
Et ses amies la trouvèrent changée, mais elle ne pouvait pas leur raconter la raison de ce qui la rendait ainsi, puis elles s'étaient doutées qu'il y avait un garçon la-dessous.
Une intuition féminine.
Puis ce fut la fin de la semaine que les choses se compliquèrent pour tous les deux.
La décision que venait de prendre sa mère quand elle  se dit qu'il fut temps de le remercier comme il se doit son cher Baptiste.
Elle le ramena pour dîner au soir, et à la fin du repas elle annonça à Sou-Ann qu'elle voulait qu'il dorme chez eux.
Il pouvait venir dormir à l'étage s'il le souhaitait, il y avait une chambre d'ami. Quoique son regard la trahissait sur ses intentions.
Cela fut un moment qu'elle ne s'était pas sentie femme, et qu'elle n'avait pas accompli son devoir d'épouse.
N'ayant plus son mari et aussi parce qu'il fut prévenant avec elle, elle avait envie de se perdre dans ses bras.
Elle dut attendre que Sou-Ann aille dans sa chambre, pour lui faire part de ce qui lui trottait en tête, et la nécessité de ne pas être interrompu par sa fille.
Ne dormant pas encore elle surprit la discussion entre sa mère et Baptiste. Elle le remerciait qu'il fut là pour elle, et sans son apport aux tâches à l'institution, elle ne sait pas si elle aurait tenu le coup.
Alors que Sou-Ann ouvrit légèrement la porte pour les voir, sa mère se blottit dans ses bras, et il n'eut qu'un geste tenter de la calmer.
Il ne comprenait pas pourquoi elle se montra si accablée avec lui en vue de son attitude actuelle, car son mari lui annonça qu'il la quittait pour une autre, et elle aurait pu à la place se montrer ravie lorsqu'ils furent seul dans la confidence.
Cela aurait changé pas mal la donne, et il ne se sentirait pas aussi tranché dans son choix.
Puis il ne fallait surtout pas qu'elle découvre leur supercherie, ou Véro aurait une sérieuse discussion avec son ami que cela ne se faisait pas de jouer avec les sentiments des autres.
Cela la rendit nostalgique et elle voulut lui rappeler quelques souvenirs de l'orphelinat, avec son départ quand le garçonnet avait à peine dix ans, et aussitôt mariée elle tomba enceinte très vite.
Il avait ajouté avant cela de l'épouser dans dix années, ainsi qu'elle ferait mieux de se refuser à cette homme bien trop vieux pour elle.
Il n'avait probablement pas eu tord, elle aurait du l'écouter malgré qu'il soit  encore jeune, et qu'elle n'avait pas pris ses paroles au sérieux.
Mais à cette époque elle ne pouvait plus revenir en arrière, et l'avait fait sans vraiment y réfléchir.
L'accord fut signé et ils eurent une bouche en moins à nourrir.
C'était pour cela qu'il lui accorda après la naissance de leur unique enfant, un dortoir pour les enfants abandonnés de leur ville, où elle avait eu comme rôle de leur apporter tout le nécessaire.
Et sa fille avait grandi dans la foi religieuse et pieuse étant obligée de l'apprendre de la bouche des domestiques qui lui firent un cour en long et en large sur la sexualité. Alors qu'Il fut bien mieux d'avoir l'information de ses parents en des termes bien choisi.
Sa mère se rapprocha au plus près de lui pour l'embrasser, mais il recula.
Cela faisait déjà quelques mois qu'elle n'avait pas touché son époux, ceci en primant d'abord sur son travail et au jour de son départ elle comptait bien remettre le couvert.
Avant que Sou-Ann n'essaye d'intervenir, il la repoussa lui disant que sa séparation fut encore trop fraîche, et qu'elle devait prendre du temps pour elle.
Elle comprit qu'il n'était pas intéressé, où il ne l'aurait pas rejeté. Elle avait envie de disparaître sur place, et de se fondre dans le décor en s'éloignant aussitôt de lui, tellement elle avait honte de sa propre réaction.
Surtout qu'il n'y avait rien entre eux, et que sa fille finira pas le comprendre, puis il lui faudra avoir une explication avec Véro d'avoir profité de la situation, quand celle-ci proposa de la remplacer, pour sauver l'unité de sa famille.
Quand elle voulait qu'il reste dormir, elle avait désigné la chambre du haut, pour mieux pouvoir le rejoindre dans la nuit, et que Sou-Ann ne voit pas qu'elle se rapprochait de lui, alors que celle-ci enterra la hache de guerre.
Puis il y avait la raison de sa santé, leur foyer n'était pas humide et frais, qu'elle craignait qu'il ne tombe malade entouré de mur de pierre, puis il risquait de ne pas tenir le coup là-bas dans les courants d'air.
Puis Véro monta les escaliers sans même lui adresser la parole, il comprit que c'était mieux ainsi, puis elle s'enferma dans sa chambre sans doute, parce qu'elle avait entendu que la porte s'ouvrit.
Baptiste réfléchissait pour lui-même que tant que son amie n'aura pas complètement oublié son mari, il ne fera rien pour la mettre dans une situation inconfortable, et il s'en assurera qu'aucun ne l'y mette.
Plus d'un mois à n'avoir rien à lui reprocher concernant sa mère. Celle-ci put enfin écarter l'hypothèse qu'elle puisse être enceinte de lui, alors qu'ils s'étaient adonné tous les deux à la luxure en dehors de ces murs,..
C'était cela qui les fit devenir plus proche sans le réaliser dans leur rendez-vous nocturne, car pour une raison qui lui échappait, il vint la voir dans sa chambre alors qu'elle se cachait sous son drap quand la porte s'ouvrit.
Il grimpa sur le lit pour pouvoir s'allonger près d'elle puis il la fit tournée vers lui bouleversé.
Elle le prit dans ses bras pour le bercer contre sa poitrine, puis il somnola. Enfin il se laissa le temps de retourner à un état normal, puis il lui fit une proposition indécente.
 
Il est vrai qu'elle s'étaient proposée de la remplacer, qu'il exigea qu'elle le rejoigne à la tour en l'aidant à passer par la fenêtre, puis la refermant en faisant vite fait le tour pour être près d'elle.
Elle avait eu tout juste le temps d'enfiler sa robe derrière le paravent, parce que si elle ne revenait qu'au petit matin et que l'on entre-apercevait, on se poserait des questions dans un accoutrement de nuit.
Il la laissa en disant qu'elle attende dix minutes qu'il se prépare avant de venir le trouver, et d'autres consignes spécifiques.
Il avait besoin d'activer son corps pour bien dormir, et elle devait se faire passer pour Madame B, qui était connu pour ses m½urs légères avec ses amants, dans une mise en scène qu'il lui chuchota à l'oreille de leur toute première nuit, ce qui l'avait laissé sans voix.
Ayant un maximum d'informations en main, elle se rendit pour suivre l'un de leur nombreux rendez-vous avec son amant.
Elle devait prendre la cape semblable à celle de sa mère, celle qu'elle avait aperçu en ce lieu, de ces fois où son amant fut sensé lui parler, mais ils faisaient bien plus que cela, puis ils se résignèrent à convaincre l'empêcheuse de ne pas révéler leur secret en étant passé devant leur domicile.
Et au bout du compte elle revint sur ses paroles, de ne plus lu adresser la parole, pour le revoir quand même.
 
Sou-Ann vérifia le lit une fois en haut qu'il fut utilisé, les draps étaient froissés, et il semblait l'être depuis quelques jours.
Elle s'esclaffa "dans quelle position pensa-t-il le faire ? "
Elle avait retrouvé la cape de sa mère en bas, qui aurait pu contenir de sa semence, elle s'en répugna rien qu'à l'idée d'y avoir touché.
Baptiste s'était caché dans les feuillages pour voir, ce qui se passait vers les escaliers, et attendre qu'elle allume la lampe en haut pour commencer à monter.
Non ce n'était pas possible, tout en secouant sa tête pour en chasser l'idée farfelue.
Elle y prenait le plus grand soin, et elle sortit à la place sa cape qu'elle avait ramené, puis elle décida de cacher l'autre dans le sac en le jetant à l'extérieur, en s'accroupissant pour ne pas être vu par l'interstice de la brique non mise pour laisser l'air passer.
Pour être plus sûre en revenant en haut, elle rabattit sa capuche sur sa tête, pour camoufler la partie haute de son visage et ses yeux.
Elle s'assied sur le lit en attendant qu'il arrive, puis elle alluma la lanterne, car il devait être revenu de l'institution.
Il était sûrement neuf heures voir dix heures dans la pénombre de la nuit, heure à laquelle ils étaient sensés se retrouver, et qu'il montait les escaliers pour la rejoindre.
Pour soulever les soupçon d'une liaison ils venaient à une heure d'intervalle.
Il avait vu à quel point la mère et la fille se ressemblaient, que n'importe qui aurait pu les confondre à part leur coin secret, et le peu de lumière n'était pas sensé révéler qu'elle fut plus jeune.
Ce qui devait suivre ressemblait à un avant goût de ce qu'elle aurait appris de sa vie d'épouse.
Il en fut mortifié après avoir pensé appeler la bonne personne qu'elle vint à lui en d'autre terme.
Même n'ayant jamais embrassée elle comprit comment procéder puis elle cacha bien son visage pour qu'il ne puisse pas la voir, en s'allongeant sur le lit le réclamant tout en susurrant son nom, pour alourdir sa voix à celle d'une femme plus expérimentée et sûre d'elle.

 
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#Posté le lundi 11 mai 2020 10:51

Modifié le mardi 06 octobre 2020 13:41

Il n'aurait pas du lui faire ça...

Ils ont eu leur rendez-vous nocturne qui ne s'est absolument pas passé comme il l'aurait prévu, et il l'avait mise en rogne pour ce qu'il lui avait demandé qu'elle souhaitait bien le lui faire comprendre dans son comportement.
Au dimanche elle porta une robe qui lui ressemblait, et en dessous elle avait mis une culotte bouffante, qui sont plus confortable et recommandée quand elle fut indisposée. Ce qui n'était évidemment pas le cas, mais ça il ne pouvait pas le savoir.
Elle décida de rester debout pour que sa mère ne devine pas son trouble, en l'ayant dans la même pièce au repas, elle ne devait pas comprendre son désarroi.
Sa mère se demandait comment arranger les choses avec son époux, malgré qu'il lui avait envoyé une lettre qui précisait vouloir la quitter pour une autre, et elle se sentit désemparée que son seigneur et maître ne soit plus là.
Puis des signes évident tel que d'emporter chacun de ses vêtements démontrait qu'il fut réellement décidé.
Sou-Ann tenait à ce qu'elle pense à ce qui lui fera le plus grand bien.
Elle devait rester neutre dans la pièce pour ne pas soucier sa mère qu'elle ne s'était pas aperçu de ce qui s'était passé entre eux, et à rester courtoise avec lui.
Véro prit le temps de réfléchir qu'elle avait agit sous une impulsion, et lui demanda de la suivre devant la cuisine là  où ils seront visibles, mais qu'il lui sera difficile d'être entendue en lui parlant à voix basse. Il était préférable que sa fille n'en sache rien, car c'était une réaction inhabituelle la concernant.
Elle lui présenta ses excuses, et que cela ne se reproduira plus, ce ne fut qu'un moment de faiblesse.
Sou-Ann s'était égarée à penser ce que cela aurait été, si elle l'avait laissé vibrer en elle, comme il l'avait fait quand il avait jouis dans sa main, il lui aurait laissé son emprunte, parce que la première fois s'encra profondément dans la mémoire.
Véro choisit que sa fille dresse la table tandis qu'elle réchaufferait le repas.
Ce n'était pas parce qu'elle fut active professionnellement qu'elle négligeait la préparation du dîner, ceci à se retrouver derrière les fourneaux.
Baptiste se surprit qu'elle ne répondit pas à son prénom, quand il lui proposa de dresser d'abord la nappe, alors qu'elle récupérerait la vaisselle.
Elle était remontée contre lui qu'elle décida de fixer le sol autant qu'elle le put, en laissant présager qu'il la troublait quand elle se déplaçait ainsi.
A part lorsqu'elle dressa le couvert, elle ne voyait que ses mains.
Dès qu'elle finit son repas, elle demanda à sa mère l'autorisation de se retirer de table, pour retourner dans sa chambre qui était côté-à-côte à la pièce commune, et ne nécessitait que peu d'intimité.
Il voyait bien que de rester dans la même pièce que lui, la mettait à rude épreuve, et ce n'était pas parce qu'il aurait pu remplacer son père pas du tout, il lui fallut  du temps pour digérer la façon infecte, qu'il eut réagi à son égard.
Il devait se faire pardonner, et il ne lui servira plus à se soucier que sa mère ne tombe dans ses bras, en lui conseillant de partir retrouver son époux, pour tenter d'arranger les choses entre eux.
Il n'était pas trop tard, avec déjà plusieurs années de mariage, sans compter leur fille en pleine santé qui dans quelques années aura elle aussi quelqu'un.
Mais cette idée était loin de lui plaire.
 
La semaine suivante il arriva à la faire sortit de sa tanière au week-end alors qu'elle fulminait après lui.
Il l'appela car il rechercha partout le nécessaire d'écriture.
_ Sou-Ann peux-tu venir s'il te plaît ? Je n'arrive pas à mettre la main sur le papier avec ton encrier. Peux-tu me dire où  il se trouve s'il te plaît ?
Elle sortit car elle l'utilisait et en avait pour un moment qu'elle préféra le lui remettre, et elle laissa sur sa table sa feuille toute remplit d'encre et lui dit qu'elle arrivait.
_ Je l'avais avec moi pour écrire, et je ne savais pas qu'il te serait nécessaire.
Il voulut savoir si elle avait fini et comme ce fut non, il lui proposa de venir s'asseoir sur la chaise d'à côté pour le lui remettre quand il aura terminé.
Il passa son temps à l'observer du coin de l'½il, maintenant qu'ils vivaient sous le même toit, et il s'aperçut de la trace dans son cou qui lui fit penser à un suçon qui était entrain de s'étioler.
Il le lui fit remarquer qu'elle voulut le cacher de sa main, puis il lui apporta un foulard en soie qu'il noua en cravate.
Il se demanda à lui-même, comment avait-il pu en arriver là, à la marquer de sa possessivité. Depuis quand il agissait ainsi avec ses partenaires, parce qu'il fut brûlé par la passion de leur deux corps réunis.
Il repensa à cette nuit torride, pour lequel il lui demanda de jouer un rôle celui de Véro, alors qu'il n'avait jamais été amant, mais si elle l'apprenait elle ne lui laissera plus l'approcher, même en ayant de l'affection pour lui, puis il avait soutenu dans sa mauvaise passe.
Sa mère avait eu l'idée de trouver un nouveau père, si elle avait pensé que cela lui ferait plaisir que ce soit Baptiste, elle se fourrait le doigt dans l'½il, surtout après ce qui s'étaient passé entre eux c'était impensable, mais ça elle ne pouvait se permettre de le dire à haute voix, puisqu'il fut son amant actuel, et que cela lui fera trop bizarre qu'il soit avec elle deux.
Il avait écrit des vers qu'il fut prêt à enrouler dans un tube hermétique dès qu'il pourra le lui remettre.
Il les lui lit en s'attendant qu'elle lui donne son avis, car cela la concernait, mais elle ne lui avait pas dit que ça la dérangeait qu'ils soient adressé à sa mère à cause du jeu de rôle, ou il aurait dissipé le malentendu.
 
 
"En cette nuit ma bien aimée, nous avons déposé en ce lieu tout énamouré notre passion ravageuse.
Quand tes mains y touchèrent, et que tu m'as invité en ton creux d'y apporter des caresses hasardeuses, puis les miennes l'ont remplacé, et t'ai-je senti à ton apogée pour mieux recevoir des égards.
Nos lèvres se sont touchées pour assouvir une part  de notre soif, enfin de la tienne haletant sans fin.
J'étais bien décidé d'apporter un peu de moi à ma sauce, pour mieux cueillir le nectar suprême du Vésuve.
Aussi fragile et délicat que les pétales d'une rose, il en faut un toucher délicat, ou elle déborderait en abondance en créant la confusion.
Alors que je te voulais bien présente et consciente de ton choix.
Puis ton corps me réclamait tant d'amour, de promesse s'ouvrant à ma condition de mâle ému, que je ne pus que m'accomplir en ces termes..."
Ce fut trop pour elle, et elle retint un soupir étouffé qu'il y mette aussi bien les mots de ce qui se produisit entre eux, il avait une telle facilité que s'en était déconcertant.
Tout en la regardant il avait comprit qu'elle avait rougit, et que ça lui faisait de l'effet, et sûrement qu'il lui trottait en tête une imagination fantasque.
Le sens des mots l'avait atteint de plein fouet de la lecture qu'il en fit, puis son visage se décomposa qu'il puisse penser à une autre qu'elle, alors que c'était avec elle qu'il était.
_ Sou-Ann qu'as-tu pensé de l'énumération de mes vers ? Est-ce que cela te parait disproportionné ou te choque qu'il t'es nécessaire de te retirer dans ta chambre pour t'en remettre ?
Et presto elle lui remit le nécessaire d'écriture entre les mains, puis il rangea la feuille dans l'étui prévu à cet effet le roulottant.
Elle ne voulait pas tant argumenter là dessus mais elle sera obligé ou il ne la laissera pas lui échapper comme ça.
Rien que de s'en rappeler lui avait retourné l'esprit, et elle savait que s'ils avaient été plus loin, il la troublerait encore plus qu'elle ne l'était déjà, elle se serait laissée fondre dans ses bras.
Mais ce fut pour le mieux, se raisonna-t-elle.
Au fond de lui c'était elle qu'il réclamait, et cette lueur dans ses yeux en lisant son écrit lui était destiné, ça faisait mal.
Sou-Ann lui dit qu'elle se retirait, et qu'elle souhaitait se reposer avant de reprendre où elle s'était arrêtée, car sa déception l'avait épuisée.
Sa voix mua face à son trouble, rien que quelques paroles puis elle mit un terme à leur dialogue en ressentant une chaleur profuse, cela l'affecta qu'elle ne s'en aperçoive pas différemment.
Sa mère s'était retirée pour mieux se reposer de faire de très mauvaise nuit.
Pour lui dormir sur le canapé fut un grand luxe avec une couverture et un drap, parce que ce n'était pas chez lui, et qu'il aimait se savoir au même étage qu'elle.
Baptiste tel le célibataire qu'il fut, avait appris à concocter des petits plats pour lui-même.
Ce fut son point fort pour appâter les femmes chez qui il allait, il devait bien apprendre à se débrouiller, depuis le temps qu'il fut encore seul et qu'on ne lui avait pas mit la corde au cou. Ce fut un bon point pour elle.

En journée, il s'occupait de la vente de ses toiles voir il peignait quelques portrait des passants qui le lui demandait, ceci pour mettre de la distance avec sa mère.
Puis elle l'interrogea sur sa journée, et elle répéta une fois de plus qu'il fut important à son rétablissement ne voyant pas que sa fille pourrait en être blessée car elle l'avait aussi soutenue, et veiller qu'elle aille bien, depuis la désertion de son mari.
Le ténébreux fut mal à l'aise, et il se sentit coupable qu'en embarquant sa fille dans un guêpier, le couple allait s'effondrer par sa faute, il était responsable du départ du père en détruisant la vie de son amie.
Mais Sou-Ann se sentit bien fautive aussi en brisant leur vingt ans de mariage, alors qu'à la base il n'était pas amoureux mais ils étaient bien et ils se respectaient.
Pendant la soirée elle réessaya de le convaincre de monter dans la chambre d'ami, et il lui répondit qu'elle devrait le proposer à sa fille, enfin si elle eut un temps soit peu de bon sens, elle protégerait sa fille qu'il l'approche.
En fait, elle avait l'intention d'être moins là pour effectuer les recherches de son mari jusqu'à connaître sa destination grâce à leur amis commun qui ne pouvaient que le lui révéler qu'elle tenait qu'il revienne dans leur foyer.
Sa réponse resta inchangé, et il y réfléchira en étant rongé par la culpabilité.
Puis la lecture de la suite lui reprit dans sa tête, et ce fit silencieuse de ce qui aurait pu arriver, en réfléchissant à la continuité de leur acte, si seulement ils s'y étaient pris comme les autres fois...
 
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#Posté le mercredi 13 mai 2020 21:54

Modifié le vendredi 12 juin 2020 20:09

Pourquoi n'arrive-t-elle pas à lui laisser le bénéfice du doute ?

Au lendemain, elle ne savait pas que sa mère s'absentait aux vacances jusqu'à à une date indéterminée, et au printemps comme pour lui donner une mission elle lui demanda de s'occuper des enfants abandonnés.
Véro eut tout juste le temps de dire au revoir à sa fille à la gare, qu'il leur fallait au plus vite monter ses bagages dans le wagon.
Elle ajouta que malgré qu'elle ne lui ait pas dit souvent elle était fière d'elle, malgré qu'il lui arriva de trop la couvrir d'attention chez eux, puis elle avait conscience que son époux avait su établir une certaine harmonie dans leur famille, ainsi qu'il fut un bon père pour elle.
Maintenant elle devait le rejoindre pour lui faire comprendre, que même si elle peut paraître froide elle tient à lui.  Elle savait qu'il fut chez ses parents à bouder, et elle refusa de rester les bras croisés.
Baptiste de son  côté fit comprendre à Sou-Ann que ce n'était pas parce qu'il l'aida la nuit dernière, qu'il s'adonnait forcément à l'acte pur et dur du fait d'être un adulte, et qu'en tant que tel seul ses propres pulsions l'obligeait à y répondre, quoiqu'elle furent immature mais pas essentielles.
Et sur le moment elle s'était faite sans partage d'un vrai accord, il le percevait ainsi car ils ne l'avaient pas fait en même temps, et il revint car elle avait un faible contrôle de ses émotions. Il espère qu'elle saura les retenir autrement.
Plutôt que de le faire dans son dos, elle aurait mieux fait d'en parler avec lui, et non lui servir cette version rebutée.
Il aurait été dans ses droits de lui refuser, en la faisant prendre une bonne douche bien froide dans le lac, celui qui était derrière chez elle si une telle réaction lui reprenait.
Il n'avait pas pu se résoudre à faire plus, en sentant qu'il en aurait profiter, et ce n'était pas dans son attitude coutumière.
Il restait à savoir quel garçon l'avait mis dans cet état de dépendance à la chose, ne pensant pas qu'il en soit responsable, pour qu'il lui faille voir le premier venu, car il voulait répondre à ses besoins.
Il se doutait qu'elle ne le lui dira pas aussi facilement.
_ Sou-Ann maintenant que nous allons avoir quelques semaines seul, nous allons devoir nous mettre d'accord sur la fréquence de nos rapports. Il nous faudra en parler de ce qui t'es arrivé la veille. Je n'arriverai pas à avoir l'esprit tranquille, tant que tu ne m'en feras pas part du problème. Je suis un homme persistant, autant que tu abandonnes l'idée de te défiler. Puis j'espère que tu seras à l'avenir être plus honnête avec ce que tu veux, car je ne serai pas certains de répondre les prochaines fois à ton appel, alors que tu m'as éconduit que je t'apporte du réconfort !
Il sortit le rouleau de papier de son poème, puis le déposa sur la table le mettant bien en évidence, et il croisa les bras.
Baptiste n'appréciait pas le silence puis il voulut la laisser reprendre la lecture, quand elle retournera à sa chambre, cela ne pouvait pas continuer ainsi.
Il était hors de question qu'il cède à nouveau de cette façon aux suppliques, tant qu'elle ne réglera pas son problème d'avoir une dent contre lui.
Elle promet presque que ça n'arrivera, plus tellement elle avait honte d'elle, de lui avoir demandé ce genre de  service chez ses parents.
Il lui répondit que ce n'était pas l'impression, qu'elle lui avait donné à le supplier, car ceux qui l'étaient ne le faisaient pas avec autant de véhémence.
Et il serait temps qu'elle reconnaisse quand elle le voulait  par honnêteté.
Elle se tut pour mieux chercher ses mots, et elle se mit en colère, que oui ça lui trottait en tête depuis seulement leur rencontre, puis il n'était pas simple de l'avouer, alors qu'elle n'était pas celle qu'il voulait vraiment, jusqu'à preuve du contraire.
Elle fut jalouse de sa relation avec sa mère qu'ils avaient tous les deux, car ils se comprenaient, surtout en pensant qu'elle s'apprêtait à remplacer son père par lui, qui fut plus jeune d'entre leurs deux âges.
De cette façon elle voulait empêcher cela d'arriver de toutes les façons qui lui étaient possible, de le séduire même si qu'elle soit maladroite, à condition que sa mère reprenait sa vie avec son père.
N'était-ce pas suffisant à ses yeux ? Ça l'était pour elle puis il tomba dedans en partie, car il répondit en cherchant à l'apaiser.
Pour la blesser pensa-t-elle, il lui avait dit qu'elle était bel et bien une gamine, puis il ne voyait pas la nécessité de réciprocité, en concluait-elle.
Tant qu'elle ne changerait pas, il ne la considérera pas comme quelqu'un de vingt ans mais une adolescente.
Il perdait son temps à lui expliquer, puisqu'elle le prit pour une attaque frontale, alors qu'il voulait pour elle qu'elle tombe sur un gars bien.
Dommage qu'elle agissait ainsi car elle ne faisait pas grâce à la beauté de sa mère.
Il trouvera une autre occupation en peignant à l'extérieur des peintures à l'huile pour les vendre en place public, puis il récupéra la feuille en pensant qu'il valait mieux qu'elle réfléchisse dans son coin sans distraction.
Mais il ne devait pas savoir comment lui avait affecté cette semi-nuit d'amour pour sa part passé à la tour, et elle lui aurait cédé s'il n'avait pas touché à son amour propre, puis elle reconnaîtrait ses sentiments.
Non, il ne l'avait pas compris, où il lui aurait fait subir un interrogatoire approfondi.
Ce n'était pas ce dont elle avait besoin pourtant il n'en fut pas convaincu que cela ne fonctionnerait pas sur elle.
Alors il évita son regard pour d'autres raisons personnelles, et il lui sembla qu'elle cachait des choses importantes bien, qu'il soit insensible à son jeune charme.
Elle préféra façon de parler la torture aux mots, que de reconnaître qu'il l'avait à sa merci tout en l'ignorant.
D'autant plus que cela aurait été plus simple d'agir en bon soldat, en attendant qu'il révise son jugement.
Il avait encore la possibilité de se dire qu'après mûre réflexion il ne la touchera plus.
Elle savait qu'il fut un homme à ne pas être contrains voir contrarier, pourtant elle tenta l'expérience.
Ce qui voulait dire qu'avant de lancer sa crise, il veillait sur elle et elle devra avoir une discussion au calme autour d'une boisson apaisante, et après elle connaîtra ses intentions.
Puisqu'elle se sentit obligé de dire qu'un autre en fut la cause, il lui demanda d'argumenter la façon que cela arriva.
Sachant qu'elle ne pourra pas lui dire que ce fut chez elle, ni même dans la tour, car la journée il la laissa fermer.
Son discours fut disloquent, un sale gars fut la cause de ce comportement, elle s'était mise à rentrer à pas d'heure, puis elle s'était retrouvée chez lui.
Il y avait certaines chose qu'elle arriva à dire à ce jeune homme, et les ébats en faisait partie.
Sûrement une vaine tentative pour le rendre jaloux, mais son visage resta impassible.
En la sentant à l'aise il lui proposa de l'initier à des jeux interdits aux non-marié, mots qu'elle retenues des servantes, mais dont elle n'eut aucune idée que ce soit vrai.
Cela consistait aux caresses, baisers à se toucher mutuellement de toutes sortes de façons.
Il savait comment s'y prendre pour que cela dure, et son poème lui rappela cette expérience.
Il n'avait pas à savoir plus alors qu'elle lui fit un récit.
Pour la faire pâlir, il lui dit vouloir le rencontrer pour avoir une discussion avec lui, et savoir d'il est fait pour elle, au moins il s'en soucia.
Elle ajouta qu'il allait bientôt s'engager à une jeune femme qu'on lui avait désigné, et que cela ne fut que pour le fun, du genre de ce qu'il lui proposa, et ils n'avaient jamais conclus.
Baptiste ne trouve pas cela amusant, que l'on piège une jeune femme dans les affres du plaisir, pour ensuite la laisser aux abois sans remord.
Lui pourrait au moins prendre soin d'elle jusqu'à qu'elle s'en lasse, mais Sou-Ann se disait que le temps qu'il ne voudra plus d'elle, elle se sentira abandonnée.
Il ne supporta pas de tel traits de caractère, et la remercia de lui en avoir parlé.
Elle acquiesce puis lui annonce qu'elle retourne dans sa chambre, pour se préparer à voir les enfants de l'institution de sa mère, au moins ça l'occupera la tête, et elle finira la journée sur une note positive, tout en relançant en boucle ses paroles.
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#Posté le vendredi 15 mai 2020 16:52

Modifié le vendredi 15 mai 2020 17:12

Quelques chapitre avant la pause. Venez me faire part de vos impressions quand vous venez me parler, puis si un commentaire est trop intimidant laisser un message dans ma boite d'ici :)

Il l'avait remis à sa place de s'y être remis plus tard, puis fait un serment concernant sa façon de faire avec lui, et presque plus rien depuis.
 
Elle ne pouvait que le décevoir, et il fallait qu'elle lui avoue qu'il fut celui qui l'intéressait.
Mais pas dans l'immédiat, où il la croira juste intéressée de découvrir avec lui, ce que ça ferait s'il lui faisait l'amour, pour vérifier la véracité de ses propos.
Et ceci plutôt que de reconnaître que ça lui faisait envie de le savoir aussitôt.
Le jeune homme n'était au bout du compte qu'une invention inspirées des histoires, que les servantes lui avait racontées de leur propre vécu.
Mais comment lui expliquer une telle lubie, sans tout lui avouer à demi-mot.
Ce qu'elle allait faire s'avérera effrontée, osée tout ce qu'elle est au bout du compte.
Ce ne fut plus qu'une question de jugement de rien et de tout.
Avouée qu'elle le savait pour lui et sa mère serait choquant, puis sa mère ne tolérera pas qu'elle se mêle de sa vie privée.
Soit c'était cela, ou dire à sa mère qu'elle fut au courant de leur rendez-vous à la tour de guet, mais elle n'était pas prête, parce qu'elle sera obligé d'avouer son aventure.
Au bout du compte, il n'aurait jamais du lui en parler, c'était de sa faute qu'elle culpabilisait, puis il ne voulait pas qu'elle soit surprise.
Il aurait du lui rendre sa liberté par sa franchise, mais il l'avait capturé.
Puis cette mise en scène décadente, tout se brouilla dans sa tête face au manque de communication, il ne put lui dire que ce poème lui était destiné, et qu'il en avait écrit la suite en pensant à ce qui aurait du se produire entre eux ce soir-là, et ce qu'il aimerait lui faire ressentir.
Alors il se contenta de lui demander son avis, c'était mieux que rien, maintenant qu'elle ne passa plus son temps à se cacher, discuter, l'interrompre, elle pouvait au moins le lui dire.
Mais elle voulut d'abord connaître le sens de son titre qui lui fut attribuer.
"L'amour à la clarté de la lune"
Il resta impersonnel pour protéger l'identité de son amante, lorsqu'il le contera à la tombée de la nuit au passant se regroupant en cercle autour de lui près d'un feu.
A moins que cela fut pour éviter que ça ne tombe entre de mauvaises mains, comme son père et sa mère qui pouvaient revenir d'un jour à l'autre.
Elle aurait voulu savoir pourquoi il avait choisi ce titre qui l'intriguait, et elle décidait de lui répondre ceci.
_ C'est très poétique, mais ça je ne t'apprends pas grand chose, et tu représentes un moment passé avec ton amante, quelque chose dans ce genre. Elle a de la chance que tu lui écrives de telles chose. Dès qu'elle l'aura lu je te souhaite, qu'elle te saute dans les bras, et vienne te rejoindre pour que vous puissiez repasser une telle nuit tout les deux. Elle était confuse en pensant que le temps employé fut parce qu'il eut en tête de raviver un moment avec cette femme, sans faire le rapprochement, que ça n'avait pas encore eu lieu...
Il fut abasourdit par les mots qu'elle lui prononça et qui lui parurent d'une telle naïveté..
Ou le pensait-elle si frivole au point qu'il soit capable de lui être infidèle ?
Cela restait à voir, et peu importe qu'elle le soit ou pas celle à qui il l'avait adressé, tout du moins elle chercha à s'en convaincre, du moment qu'il soit heureux, et que leur sentiment soit véritable, cela les mettrait moins en faute, même si elle ne pourra pas s'empêcher de les en vouloir.
Il lui avait semblé qu'ils partageaient beaucoup de tendresse, puis elle avait répondu à côté quoiqu'il s'en satisfasse ne la faisant pas reformuler.
La raison du nom de son titre lui titillait sa curiosité. Mais y répondra-t-il sans ambage ?
_ Merci pour ton honnêteté. J'espère aussi qu'en le comprenant elle montrera autant d'enthousiasme que tu me le dis. Ou je n'aurais plus qu'à cacher ma tête dans un trou comme l'autruche. Elle riait de sa bonne blague, enfin si elle pouvait l'envisage comme tel, et elle préférait se dire que ça fut le cas.
Cela serait un tel gâchis de camoufler un si beau visage, et des yeux aussi sombres que deux perles noires.
C'était tout et elle ferait mieux de s'activer à sa tâche, pour préparer de quoi manger pour le soir, une tarte salé et une salade bien fraîche.
Il lui fallait une pause et qu'importe qu'il la rejette au soir dans ses tentatives.
Le repas fut servi puis elle le devançait, en débarrassant la table pour le remercier pour la veille, et n'avoir aucun accrochage dans la cuisine.
Ce qui l'interpella fut qu'il reste à un mètre d'elle à l'observer, qu'elle ne sut plus où se placer, et ayant bien cru que la vaisselle se briserait devant elle. Il fit quelques enjambées pour empêcher le désastre, les barrant de son corps, pour qu'elle ne se renverse pas, et ne tombe pas au sol. Ce qui avait salit son vêtement dans la foulée.
Il lui dit que ce n'était rien, mais dans la confusion elle lui commanda de retire sa chemise, pour nettoyer la sauce avant que les dégâts ne soient irréversibles dû au curcuma...
Après réflexion elle n'eut pas longtemps, pour qu'il se défasse de celle-ci tout en vérifiant sa réaction, alors que ses tétons étaient dressé, ceci dans un appel à être mieux touchés.
Il attendit en lui tendant son vêtement de voir ce qu'elle ferait, il se trouva qu'elle en avait vraiment après sa tâche, et non à lui.
Elle mit un tissus coton en dessous propre, puis tamponna d'abord d'un tissus humide dessus pour  en étaler le moins possible la tache au savon de Marseille, puis elle frottait délicatement jusqu'à  que la couleur du colorant sorte. 
Elle rince à l'eau clair  en vérifiant qu'il ne reste plus rien, et elle lui dit qu'il faudra qu'elle le mette à tremper  dans la lessive avec de l'eau, puis à la lumière du jour il ne restera qu'à vérifier qu'il n'y a plus rien.
Baptiste lui dit qu'il n'aurait pas fait mieux, voir pareil même s'il fut loin d'être une ménagère.
Elle lui donna une tape dans le bras, et elle rougit de voir son torse nu de si près leur détail, il fut assez content de lui faire un tel effet, qu'elle finit par détourner le regard.
En se sentant toute chamboulée qu'elle ait eu une maladresse en récupérant la bassine, elle la remplit d'eau et de savon en plongeant la chemise clair dedans.
Elle lui expliqua qu'elle devra bien rincé celle-ci, parce que le savon pouvait faire des auréoles sur le tissus en séchant.
Ils avaient tenté d'avoir une discussion, tel comment elle s'entendait avec ses camarades et les autres.
Avec la gente féminine ça allait bien sauf comme elle lui avait préciser, quand son amie s'était déclarée au jeune homme qui lui plaisait, et elle ne lui avait que peu reparlé depuis ce jour, malgré que ça avait été réciproque pour eux car ils sortaient ensemble.
Baptiste pensa que ce fut tant mieux, ou il n'aurait pas pu être avec elle, puis elle sembla être moins affectée que le premier soir qu'elle le lui avait dit, cela n'était plus que du passé.
Les mecs en général ça ne changeaient pas de son comportement, qu'elle avait eu avec lui quand elle fut fâchée.
Puis elle se reprit pour ne pas passer pour ce qu'elle n'était pas, enfin pour elle ils n'existaient pas, et elle arriva facilement à se passer de leur présence.
Que venait-elle de lui avouer, qu'il était l'exception ? Tout en lisant un sourire qui se dessinait sur son visage.
Elle l'avait rencontré il n'y avait pas si longtemps, pourtant elle ne lui fit pas rebrousser chemin, quand il était venu l'accoster.
Il réfléchit lui-même où il se situait dans tout ça, par rapport à sa réponse, pendant qu'il mettait une autre chemise.
Et il en conclut qu'il fut hors catégorie, sûrement parce qu'il lui parut neutre, et il ferma un à un ses boutons souplement, en souhaitant ne pas écourter leur discussion en lui révélant ce qu'il pensait.
à suivre...
 
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#Posté le dimanche 17 mai 2020 12:16

Modifié le samedi 20 juin 2020 15:28

Je verrai comment présenter le reste

Salut j'étais un peu plus occupée aujourd'hui donc je n'ai pas pu mettre ce que je voulais, ça avance par étape enfin pour ceux qui viennent lire, je n'en ai pas le résultat en message voir en commentaire.
Et plutôt que de discuter je suis ici, il faut que je puisse me reposer aussi :D.
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#Posté le mercredi 27 mai 2020 18:54

Modifié le jeudi 28 mai 2020 14:46

Et vous quel est votre genre de femme ?

Donc il ne pouvait lui refuser des services dans de tel condition, ou à lui demander de la rendre service comme la dernière fois en se faisant taquin.
Son sourcil s'arqua à son raisonnement, car il l'avait en partie disputé la dernière fois, de l'avoir dérangé à l'improviste, et qu'elle fut trop exigeante.
Sou-Ann lui dit d'arrêter d'enfoncer le clou dans la plaie, là où ça faisait le plus mal, il n'était pas très loyal.
Il lui dit de ne pas s'en soucier plus que cela, et il attendait qu'elle s'applique à ce qu'il lui avait dit, en se comportant plus comme une femme de son statut, qui connaissait les limites à appliquer.
Elle lui laissa énuméré son point de vue, puis elle voulait savoir quel genre de femme arrive à l'approcher, comme il ne prend qu'une partenaire à la fois.
Cela montrait un intérêt grandissant pour lui, et il ne pouvait pas en faire le rapprochement, mais tant pis il aura d'autre occasion comme celle-ci puisqu'ils se fréquentaient. Elle voulait qu'il lui donne une réponse.
Il était plutôt évasif et n'avait pas de genre de femme du moins physiquement, mais tout dépendra de son entente avec elle, et cela lui parut mal partit pour eux...
Elle devait savoir l'écouter, être attentive à leur environnement, surtout savoir être honnête, puis être monogame.
Tout ceci regroupé, il pourrait possiblement craquer pour ce genre de femme.
Mais il savait en général qu'elles n'étaient pas tout cela à la fois, en tout cas il n'avait eu aucune d'elle avec ce critère avant de vivre dans leur ville.
Cela rendait sa quête complexe. La voilà bien avancée dans son interprétation de la femme idéale.
Elle se disait au moins avoir la fidélité voir l'écoute. Pour l'honnêteté elle ne l'avait pas vraiment été, et attentive de son environnement elle avait gaffé en le dérangeant  quand il fut occupé, ou entrain de dormir.
Elle baillait devant lui à s'en décrocher la mâchoire, elle avait besoin de dormir, et de faire le vide dans sa tête ne serait-ce qu'une nuit.
Mais aussi seulement s'il le lui permettait, qu'elle dorme avec lui sans arrière pensée.
Puis même une fois elle se sentirait comblée.
Pouvait-elle se faire des idées, qu'il lui en avait parler pour qu'elle prenne ce genre d'initiative, et pour ne pas le braquer, il suffisait qu'elle lui demande s'il le lui autorisait...
Alors qu'elle allait vers sa chambre, en s'apprêtant à éteindre la lampe, elle se retourna et il la fixa en attendant qu'elle parte.
Il lui fallait aussi qu'elle se change, mais si elle s'en allait là, elle ne pourra pas faire demi-tour, car il ferait trop sombre dans la pièce.
_Baptiste !
Son ventre se noua, ses oreilles se chauffèrent, et une boule se forma au fond de sa gorge lui faisant avoir une toute petite voix.
 
_ Me laisseras-tu dormir avec toi juste ce soir ? Si tu trouves cela trop inconvenant, je comprendrais.
Elle tortilla ses doigts nerveusement, et elle n'avait jamais eu à demander cela.
Sou-Ann le regarda puis elle fixa le sol en s'immobilisant, enfin il pensa qu'elle voulut ajouter autre chose, puis il y mit les mots qui aurait du suivre à sa proposition.
_ Si tu veux qu'on dort ensemble parce que tu en as envie, je peux me pencher sur ta proposition, mais sache qu'il nous faudra être sage comme des images. Ce n'est que dans cette condition que j'accepte.
Elle allait s'en retourner dans sa chambre pour ne pas revenir sous l'émotion, puis elle fit demi-tour pour qu'il lui confirme. Son torse se souleva le souffle coupé par d'une forte émotion sous la surprise.
_ Donc tu veux bien... à son sourire elle comprit qu'il le voulait aussi.
Ses yeux s'illuminèrent, qu'elle se précipita vers lui pour déposer un baiser sur ses lèvres, et qu'il lui fallait mettre une tenue de nuit avant tout.
Il la vit s'effacer et réapparaître avec un châle bien couvrant sur son dos, et en cachant bien ses attraits féminins.
Elle lui fit signe qu'ils pouvaient monter dans la chambre d'ami, pour être sur un terrain neutre, et il ne seront pas influencés par ce qu'ils avaient fait plus bas sur son lit.
Il la suivit et la porte se ferma. D'avoir lu son poème l'avait émue, mais elle ne pouvait pas le lui dire, tant qu'elle n'admettra pas qu'il fut celui avec qui elle voulait découvrir tout cela au niveau de son corps.
Il lui dit bonne nuit à la dérobée, et ils se tournèrent chacun de leur côté.
Ce n'était pas la première fois qu'ils dormaient ensemble, mais elle n'était pas complètement préparée, qu'il lui fallut ne pas y penser, bien que ça lui plairait de le voir s'endormir.
 
La journée du vendredi se présenta ensoleillée, et il y avait bien des choses qu'elle prévoyait de faire, et elle lui demanda s'il voulait l'accompagner à l'institution pour s'occuper des enfant abandonnés qui se posèrent la question, pourquoi Sou-Ann ne venait plus jouer avec eux ses quelques jours.
Alors elle se dépêcha d'aller à leur rencontre, pour se prendre un nuage de câlins de chacun et chacune s'agglutinant autour d'elle, en manque d'attention sans sa mère la directrice, pour leur consacrer de son temps.
L'un d'eux osa imposer son choix à ses camarades.
_ Sou-Ann on fait une balle au prisonnier ? Aller s'il te plaît s'avança le groupe d'enfants.
Avant d'accepter elle leur présente Baptiste qui le regardèrent de leur yeux ébahis, parce qu'ils le trouvèrent beau, et qu'il fut aussi un nouveau visage. Ce qui voulait dire qu'ils pouvaient le tester, sur ce qui leur permettrait ou leur refuserait.
Elle l'avertit  la façon d'agir avec les nouveaux, mais il lui signifia avoir eu toute une tribu de petit frère et petites s½urs à l'orphelinat quand il fut l'un des plus vieux.
Il avait vu pire s'excusant auprès d'eux, qu'il savait à quoi s'attendre de ce que sont capable de faire les canailles.
Baptiste ne lui avait pas mentionné cette part de sa vie, qu'elle dut faire un effort pour rester concentrer avec les enfants.
La première fois qu'il l'avait vu la nuit où qu'il allait directement voir Véro, ils l'appelaient tous comme ça. Ils n'avaient pas vraiment prêter attention à lui, étant trop fatigué par leurs activités comme le jardinage, le nettoyage, et la confection d'objets recyclés.
Elle en faisait des enfants débrouillard qui seront volés de leur propres ailes en sortant, mais elle s'assurera qu'ils vont bien.
Grace à cela il récoltaient des fonds pour leurs sorties. Le visage de Sou leur parurent quelconque, car il y avait depuis près de dix ans pour certains d'entre eux, qu'ils la connaissaient s'étant déjà bien habitué au visage de Véro.
Donc ils furent tous joyeux d'avoir une personne supplémentaire avec qui jouer, puis la fin de la journée arriva et il fut le temps de rentrer.
Elle l'interrogea seulement après que les enfants s'éloignèrent.
_ Tu ne m'avais pas encore dit être orphelin. C'est comme ma mère sauf qu'au mariage avec mon père, elle partit le rejoindre et me donna naissance.
Elle ne croyait pas si bien dire et c'était le moment qu'il lui en parle.
_ Ta mère et moi venons du même orphelinat. J'étais sous son aile et depuis elle fut une sorte de grande s½ur pour moi.
Ce n'était pas évident d'avouer son erreur, alors qu'il allait enchaîner, elle lui coupa la parole sans savoir qu'il voulait continuer la discussion.
_ Pourtant ma mère ne m'a jamais parlé de toi. Cela doit faire beaucoup d'années, que vous êtes en contact et veillez l'un sur l'autre.
Il se montra déterminé pour qu'elle voit qu'il voulait ajouter une suite.
_ Tu dois savoir que ta mère et moi n'avons été que des amis rien de plus, et je n'aurai jamais du te laisser croire le contraire... Es-tu fâchée par mon annonce ?
Elle réfléchit alors qu'il devaient voir la responsable du lieu.
_ Il me semble que je n'y arrive pas, et je ne saurais te dire si c'est normal. Merci de me l'avoir avoué.
En des circonstances précises elle accepta, car il remplissait des critères lui correspondant.  Ce fut plus que pour les autres.
La surveillante s'occupa de les faire rentrer au dortoir.
 
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#Posté le samedi 20 juin 2020 15:36

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